Critique – «Tu mérites mieux qu’un bain moussant» par Stéphanie Deslauriers

Catégorie : Croissance personnelle

Résumé :

Se choisir, mettre ses limites, honorer son niveau d’énergie, développer l’autocompassion, identifier ses patterns et s’en défaire : Tu mérites mieux qu’un bain moussant propose d’enlever le bouchon du bain, éteindre les bougies parfumées et parler de ce qui fait réellement du bien. Avec authenticité, vulnérabilité et humour, la psychoéducatrice Stéphanie Deslauriers s’inspire de son parcours personnel pour décortiquer différents concepts thérapeutiques avec une simplicité désarmante. Au passage, elle propose des listes d’actions concrètes à poser et déconstruit les principes de la positivité toxique. Tu mérites mieux qu’un bain moussant est une lecture réconfortante qui inonde de douceur la plus importante des relations : celle que l’on a avec soi.

Ce que nos lecteurs et lectrices en pensent :

Tu mérites mieux qu’un bain moussant, écrit par la psychoéducatrice Stéphanie Deslauriers, est un guide pour prendre soin de soi léger, déculpabilisant et agréable à lire. L’autrice s’adresse à son public comme à une amie. Elle a déposé des parcelles de sa vie et une touche d’humour.

Ce guide peut nous amener à mieux nous connaître, mieux prendre soin de soi, développer l’autocompassion ainsi que reconnaître ses bons coups et les célébrer. La psychoéducatrice y aborde plusieurs sujets en surface, ce qui rend la lecture légère et agréable (comme la résilience, l’estime de soi, l’anxiété, l’image corporelle, les émotions, etc).

Cet ouvrage fait honneur à la psychoéducation, le métier que j’exerce aussi. En effet, la psychoéducation se fait beaucoup sentir dans son livre car Stéphanie Deslauriers propose de se fixer des objectifs découpés en petites bouchées et suggère des moyens concrets et des pistes de réflexions intéressantes pour y arriver.

Ce que j’ai préféré du livre est la partie dans le chapitre sur l’autocompassion où elle propose de devenir le parent bienveillant de son enfant intérieur. Par exemple, elle suggère de chérir une photo de nous étant enfant à chaque fois que nous avons un discours interne méprisant envers nous-mêmes.

« Sois le parent bienveillant dont la petite toi aurait eu besoin » (p.99)

Note : 5/5

Marie Sévigny, bénévole à la Maison l’Éclaircie

L’image de couverture appartient à @rosalie_deslivres sur Instagram.

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